1 novembre 2006
Ave Poëta
Ave Poëta
Le Poëte par la muse
Frappé ne peut clore l’écluse
Et stopper le flot de passions
Qui le submerge. Une explosion
De tendresse mêlée de peur,
Cette peur qui sert les cœurs
Lorsque hanté par une vision
Divine et l’imagination
Il ne peut écrire
Et reste figé dans son ire
Alors il se lève, terrible.
Il est Titan, il est amer,
Prince des Nues et de la Mer
Et sa parole est un éclat
Plus puissant que le Niagara,
Plus fort que les chutes d’eau.
Son nom, il le crie du haut
Du monde, à l’univers entier
A la face des dieux, des hommes :
« Je Suis ! »
Pour l’éternité
G. F.
07/2000
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